Spiaggia Libera

en Projets Artistes
ARTISSIMA - Solo Booth by Jack Warne - 31.10 - 03.11
Luxembourg Art Week
2023
Luxembourg Art Week
  • Soukaina Joual
  • Romana Londi
  • Chloé Royer
  • Jack Warne

Luxembourg Art Week

10.11 → 12.11

Pour Luxembourg Art Week, la Galerie Spiaggia Libera présente une selection d’artistes de la galerie; comprenant des œuvres de Soukaina Joual (Maroc), Romana Londi (Italie), Chloé Royer (France) et Jack Warne (Royaume-Uni), mettant en lumière la représentation du corps à l’ère numérique — une exposition collective « (Dis)embodied » rassemblant plusieurs artistes représentés par la galerie.

Vue d’exposition, « (Dis)Embodied », Luxembourg Art Week, Luxembourg, 2023. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. ©

Vue d’exposition, « (Dis)Embodied », Luxembourg Art Week, Luxembourg, 2023. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. ©

Vue d’exposition, « (Dis)embodied », Luxembourg Art Week, Luxembourg, 2023. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.

Vue d’exposition, « (Dis)embodied », Luxembourg Art Week, Luxembourg, 2023. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.

Vue d’exposition, « (Dis)embodied », Luxembourg Art Week, Luxembourg, 2023. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.

Vue d’exposition, « (Dis)embodied », Luxembourg Art Week, Luxembourg, 2023. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.

Représenter nos caractéristiques physiques et celles des autres, de manière réaliste ou non, est un sujet constant de l’histoire de l’art qui continue d’intriguer les artistes travaillant avec des outils numériques, des systèmes en réseau ou des médias plus traditionnels. Les artistes contemporains considèrent le domaine du corps et de la technologie comme offrant de nouvelles opportunités pour remettre en question les dualités — courbe ou mince, petit ou grand, noir ou blanc, femme ou homme — ainsi que les dynamiques de pouvoir inhérentes à nos systèmes. Les intuitions et les recherches des artistes sont devenues des stratégies de résistance.


Englobant divers médias tels que le dessin, la photographie, la sculpture et la peinture, les artistes présentés pour Luxembourg Art Week aborderont ces thèmes.

Soukaina Joual, The Female Gaze .01, 2021, dessin sur papier, 37 x 45 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.

Soukaina Joual, The Female Gaze .02, 2021, dessin sur papier, 37 x 45 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.

Soukaina Joual, The Female Gaze .03, 2021, dessin sur papier, 37 x 45 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris.


Les dessins de Soukaina Joual représentant des corps féminins dans un espace amorphe mais contenu semblent être en mouvement, les libérant ainsi et leur offrant la possibilité d’exister dans des temporalités combinées mais divergentes.

Romana Londi, Asylum under my tread, 2023, peinture a l’huile, peinture acrylique, film photochromique sur toile de lin, 200 x 150 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. © Aurélien Mole


Romana Londi, dans les tableaux de la série Jetlag, parle de nos corps et de leur incroyable vulnérabilité à leur environnement.

Chloé Royer, Magma, 2023, impression sur papier, 132 x 100 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. © Aurélien Mole

Chloé Royer, Magma, 2023, impression sur papier, 132 x 100 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. © Aurélien Mole


Le travail de Chloé Royer explore les différentes manières dont la perception du corps, lorsqu’elle est perturbée ou déformée, nous confronte à l’étrange. L’artiste s’efforce de produire des formes inclassables, des hybrides en mouvement, à la croisée de l’objet et du vivant sous toutes ses formes.

Jack Warne, Liyme Warcls on teh Petcar, 2023, tapis, tissu, colle, aluminium, filtre à réalité augmentée, 95 x 77 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. © Aurélien Mole

Jack Warne, Yily Streas at het Lkco, 2023, tapis, tissu, colle, aluminium, filtre à réalité augmentée, 95 x 80 cm. Courtesy the artist & Spiaggia Libera, Paris. © Aurélien Mole

La notion de distorsion est à l’œuvre dans les tableaux de Jack Warne. Ses toiles prennent vie avec des animations en réalité augmentée activées via des codes QR. Chaque boucle visuelle insuffle de la vie à la surface de l’image en mélangeant et explorant les couches d’imagerie composite. Ces distorsions se reflètent dans des collages audio de voix et de rétroactions métalliques qui crépitent avec une énergie désorientante.


La sélection d’œuvres pour Luxembourg Art Week vise à explorer le « soi incarné » à l’ère numérique et le potentiel de transformation qui y réside en sommeil.